mardi 28 avril 2009

En attendant Godot - Samuel Beckett.

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L'auteur :
 
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Samuel Beckett, (13 avril 1906 - 22 décembre 1989), était un écrivain, poète et dramaturge irlandais, d'expressions anglaise et française. On l'associe surtout au théâtre de l'absurbe, dont sa pièce En Attendant Godot est l'un des exemples les plus célèbres. On lui connaît aussi auteur de romans tels que Molloy, Malone meurt et l'Innommable.



Quatrième de couverture : 

Préoccupé de peu de choses hormis ses chaussures, la perspective de se pendre au seul arbre qui rompt la monotonie du paysage et Vladimir, son compagnon d'infortune, Estragon attend. Ils attendent Godot comme un sauveur. Mais pas plus que Vladimir, Estragon ne connaît Godot. Liés par un étrange rapport de force et de tendresse, ils se haranguent l'un et l'autre et s'affublent de surnoms ridicules. Outre que ces diminutifs suggèrent que Godot pourrait bien être une synthèse qui ne se réalisera qu'au prix d'un anéantissement, Didi et Gogo portent en leur sein la répétition, tout comme le discours de Lucky, disque rayé qui figure le piétinement incessant auquel se réduit toute tentative de production de sens.

Mon avis :

Cette pièce de théâtre, je l'ai découverte l'année dernière, je devais l'étudier pour mon programme de Première. C'est une oeuvre courte et bien déprimante qui met en scène deux personnages comiques quoique niais et étrangement, contrairement à tous ceux de ma classe, j'ai bien aimé xD J'ai aimé lire cette pièce de théâtre bien que ce ne soit pas la meilleure que j'ai lu, mais j'ai aimé.

Il n'y a pas forçément une histoire, on assiste juste aux discours de Vladimir et Estragon qui discutent alors qu'ils attendent un dénommé Godot (qui ne viendra jamais), entre deux, ils croiseront le chemin de Pozzo et Lucky, avec un Pozzo qui décide de mener l'histoire à sa manière. Résumé pas très clair, je le sais, mais je ne sais comment résumer cette oeuvre particulière. C'est souvent absurde, on ne comprend pas forçément le but de cette pièce mais là est l'intention de la pièce, il n'y a aucun but, aucune intrigue. Les discussions des personnages ne sont là que pour faire passer le temps pour eux, eux qui attendent Godot, et ces propos sont le plus souvent absurdes, dénués de sens, ou comique, il y a des fois où l'on se demande si l'un a vraiment suivit les paroles de l'autre. Nous avons quelques situations comique, surtout quand Pozzo et Lucky apparaissent. Pozzo, personnage pathétique, qui décide de tout, qui se croit supérieur aux personnages et qui fait subir à Lucky un véritable esclavage humain, le faisant conduire comme son propre chien, d'ailleurs jamais Lucky ne prononçera un seul mot, leur lien à tous les deux est étrange, on se demande comment ils ont pû en arriver là, surtout ce pauvre Lucky qui n'aura de chanceux que son nom.

Incompréhensif parfois, cynique, déroutante, absurde, drôle, étrange, cette pièce est unique en son genre. Bon, il y a des répétitions, certains passages assez loufoques mais moi, personnellement ça ne m'a pas gêné tant que ça. J'ai déjà vu la pièce jouée à la tv, et je pense que le réalisateur a bien restauré l'atmosphère déprimante, de solitude... la pièce est d'autant meilleure vue en spectacle.

Extrait :

ESTRAGON – Endroit délicieux. (Il se retourne, avance jusqu’à la rampe, regarde vers le public.) Aspects riants. (Il se tourne vers Vladimir.) Allons-nous-en.
VLADIMIR – On ne peut pas.
ESTRAGON – Pourquoi ?
VLADIMIR – On attend Godot.
ESTRAGON – C’est vrai. (Un temps.) Tu es sûr que c’est ici ?
VLADIMIR – Quoi ?
ESTRAGON – Qu’il faut attendre.
VLADIMIR – Il a dit devant l’arbre. (Ils regardent l’arbre.) Tu en vois d’autres ?
ESTRAGON – Qu’est-ce que c’est ?
VLADIMIR – On dirait un saule.
ESTRAGON – Où sont les feuilles ?
VLADIMIR – Il doit être mort.
ESTRAGON – Finis les pleurs.

Claude Gueux - Victor Hugo.

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L'auteur :

Victor Hugo, (26 février 1802 - 22 mai 1885), était un écrivain, dramaturge, poète et intellectuel  français. Il est considéré comme le plus important des écrivains romantiques de la langue française et l'un des plus grands de la littérature française. Ses œuvres sont très diverses : roman, poésie lyrique ou en prose en passant par les discours politiques et son abondante correspondance ! Chef de file du mouvement romantique, il a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre et eu aussi beaucoup d'engagements politiques, comme sur le sujet de la peine de mort, ce qui le condamnera à l'exil. De ses œuvres les plus célèbres, on retrouve Les Misérables, Les Contemplations, Notre Dame de Paris ou encore Le dernier jour d'un condamné.




Quatrième de couverture : 


Cinq ans de prison pour ne pas voir sa femme grelotter de froid, son enfant mourir de faim. Souffrir les humiliations imposées par un garde-chiourme sans scrupules. Puis, se révolter contre les vexations et le mépris. Est-ce un crime de vouloir défendre sa dignité, de vouloir rester homme, malgré tout ?


Mon avis : 


Ce court roman, étudié pendant mon année de Première L, est la seconde oeuvre de Victor Hugo que j'ai lu et j'en ai gardé un bon souvenir. La peine de mort est un sujet qui tient particulièrement à cœur Victor Hugo pour l'avoir à maintes reprises démontré dans ses discours politiques, dans des essais argumentatifs et dans son célèbre roman, Le dernier jour d'un condamné. Pour avoir lu ce dernier, il présente quelques similitudes avec Claude Gueux : c'est un roman qui se montre contre la peine de mort, le lecteur est placé du point de vue du prisonnier, Victor Hugo cherche à interpeller son lecteur... On retrouve de cela dans ce court roman, ainsi que quelques enseignements des Lumières, avec cette morale pour tenter d'instaurer un monde plus juste, plus instruit...

Cette histoire est donc celle de Claude Gueux, un pauvre ouvrier vivant à Paris, en 1831. Il vivait alors avec sa femme et sa fille et c'était un homme capable, habile, intelligent, fort mal traité par l'éducation mais fort bien traité par la nature. Il ne sait pas lire mais il sait penser. Alors qu'un hiver, l'ouvrage manqua, l'homme et sa petite famille eurent froid et faim. Dans l'espoir de sauver sa famille de la faim, l'homme vola. Il résulta de son action trois jours de pain et de feu pour sa famille et cinq ans de prison pour l'homme, envoyé faire son temps à la Maison Centrale de Clairvaux. Malgré cela, Claude Gueux est fort aimé des autres prisonniers et parvient à se faire un ami d'un d'entre eux, Albin. Lorsqu'un garde-chiourme sans scrupules lui enlève son ami, Claude Gueux décide de se révolter contre les humiliations, vexations, souffrantes et le mépris que lui et les prisonniers subissent, même si les conséquences risquent d'être bien lourdes... mais est-ce un crime de vouloir défendre sa dignité, son honneur, et de vouloir rester homme malgré tout ?

L'histoire est relativement simple mais elle est efficace, Victor Hugo cherche à interpeller son lecteur, sinon le rallier à sa cause, et il est plutôt efficace dans ses réflexions sur la peine de mort, la responsabilité, la justice, la discrimination... C'est court mais ça en vaut le détour. Victor Hugo fait ici le procès de sa société, de son époque qu'il juge en partie responsable de la situation, d'ailleurs je crois me souvenir qu'à la fin du roman, il s'adressait aux dirigeants de l'époque sur le sujet... selon lui, c'est la société qui est responsable de la délinquance alors que si l'éducation était accessible à tous, les esprits seraient moins enclins au crime, je crois d'ailleurs me rappeler une citation de Victor Hugo qui disait qu'ouvrir une école, c'était fermer une prison.

Ce roman fut une agréable surprise, d'autant plus que c'est tirée d'une histoire vraie ; j'ai aimé suivre cet homme, son devenir, sa personnalité. Un pur régal, de la première à la dernière ligne ! Critique de la société du XIXe siècle, ce livre nous amène aussi à réfléchir sur notre société actuelle. Car au fond, il est peut-être un gueux, Claude est une victime de la société. On en peut que s'attacher à lui et à réfléchir, à relancer le débat sur la peine de mort...

Extrait :

Une heure après, il aborda un jeune condamné de seize ans qui bâillait dans le promenoir, et lui conseilla d'apprendre à lire. En ce moment, le détenu Faillette accosta Claude, et lui demanda ce que diable il cachait là dans son pantalon.

Claude dit :

- C'est une hache pour tuer M.D ce soir.

Il ajouta :

- Est-ce que cela se voit ?

- Un peu, dit Faillette.

Révélation (T.4) - Stephenie Meyer.

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Du même auteur :







Quatrième de couverture :

'N'aie pas peur, murmurai-je. Nous sommes faits l'un pour l'autre.'
L'instant était si parfait, si juste qu'il était impossible d'en douter. Ses bras se refermèrent autour de moi, me pressant contre lui... 'A jamais', renchérit-il. Bella a fait son choix, et plus rien ne semble pouvoir l'empêcher de vivre ses rêves. Mais si ce choix s'avérait bien plus dangereux qu'il n'y paraît ? Et si Bella risquait d'y perdre la vie ?


Mon avis :

Alors là, alors là... je suis muette ! Tellement que je ne sais pas comment qualifier ce livre. Ce livre devrait s'appeler Déception. Du gros n'importe quoi ! Ce livre est sans conteste celui que j'aime le moins parmi les quatre, il est bien oui, mais quant à certains éléments du livre qu'est-ce que j'en suis tombée des nues !

Voici mon résumé du quatrième tome [attention spoilers !] dès l'obtention de son diplôme, Bella épouse Edward, malgré les réserves de son père. Le couple part en lune de miel sur une île appartenant à Esmée Cullen. A la surprise générale, Bella tombe enceinte et le fœtus grandit à une vitesse record, pompant toute la force vitale de Bella. Soutenue par Rosalie dans sa démarche de garder l'enfant, Bella mène sa grossesse jusqu'au bout, mais les loups-garous ne sont pas ravis de cette future naissance et blâment les vampires...

Déjà, le résumé de la quatrième de couverture annonce la couleur, j'ai éclaté de rire en le lisant, ça fait tellement... harlequin, tellement cliqué, niais. Tout ce que je n'aime pas. Pourtant j'ai tenu à terminer ce tome. Ce livre est sans doute le plus épais et le plus travaillé des quatre tomes, c'est déjà ça mais j'ai été déçue, je m'attendais à autre chose, une fin plus tragique, la fin est trop prévisible de plus, on sent arriver le happy-end à cent kilomètres.

Aussi, si vous ne voulez pas connaître l'intigue entière, je vous demanderais de ne pas lire ce qui va suivre.
[ Comme diraient les anglais : WTF !! Expliquez-moi comment Bella peut-elle tomber enceinte si son vampire de mari est mort depuis belle lurette et que donc tout organisme de son corps a cessé de fonctionner ! Incompréhensible ! Même si l'auteur a dû penser que ce serait bien que le couple Bella/Edward ait un enfant, n'empêche c'est illogique. Mais le must dans tout ça (ou devrais-je dire le worst) est que Jacob s'imprègne du bébé de Bella et Edward (autrement dit qu'une sorte de charme s'opère faisant que les deux se retrouvent comme liés, des amants à venir) et là j'ai envie de dire : mais bordel, elle n'a même pas un an que Jacob tombe amoureux d'elle et qu'ils sont destinés à être mari et femme dans le futur !! C'est du gros n'importe quoi, d'après mon avis personnel. Là franchement, Jacob n'est plus dans mon estime. Et puis, honnêtement, je m'attendais à une bataille finale. On l'attendait tous... et.. et... où est-elle ? Sans compter ce fait suivant : d'après l'auteur, tous les vampires nouveaux nés (et je dis TOUS) ont du mal à se contrôler eux-même et la soif du sang : comment diable Bella semble-t-elle être l'exception ?? Parce que c'est l'héroïne ? Pff. Sans oublier que le bébé Renesmée semble être le super-bébé de l'année. Les personnages sont TROP parfaits, c'est irréel ! Et qu'est devenue la Bella drôle et maladroite qu'on connaît ? Transformée en vampire "super belle", "super puissante" qui réussit tout ce qu'elle fait ?! Non, là l'auteur a exagéré sur ces points-là... ]

C'était des pages et des pages de perplexité. Trop prévisible : tout est bien qui finit bien, c'est trop lisse, on tombe dans le convenu et la morale, je m'attendais à mieux. On lit 400 pages pour un truc vite expédié, la bataille finale n'était pas une bataille au final alors que c'était ce qu'on attendait tous, même pas de morts, c'est comme un soufflé qui gonfle encore et encore jusqu'à retomber lamentablement. Une fin plus tragique mais se finissant bien aurait été acceptable mais l'auteur voulait une fin heureuse pour tous... et je ne parle même pas des scènes invraisemblables. J'ai l'impression que ce tome a été saboté, il s'est terminé trop vite et trop facilement.

Mais bon, il y a quand même des choses que j'ai aimé... si ce n'était pas pour Jasper, Emmett, Carlisle et Charlie, je détesterais la saga. Surtout qu'on m'a appris des choses sur l'auteur, des choses qui ont fait énormément baissé mon respect et estime pour elle... mais là encore : ce n'est que mon avis, ne vous offensez donc pas, si vous avez un avis différent c'est ok et je le respecte. Pour ma part, la seule saga de livres chère à mon cœur sera toujours Harry Potter...

Extrait :

Charlie avait alors surgi du hall, en uniforme, son revolver à la ceinture ; en nous découvrant assis côte à côte sur le canapé, il avait contenu une grimace. Ces derniers temps, il avait déployé beaucoup d'efforts pour apprécier davantage Edward. Des efforts que réduirait aussitôt à néant ce que je m'apprêtais à lui révéler.
- Bonsoir, les enfants. Comment va ?
- Nous aimerions vous parler, avant annoncé Edward, toujours aussi serein. Nous avons quelque chose d'important à vous annoncer.
En un rien de temps, l'amabilité forcée de Charlie s'était transformée en suspicion.
- Ah ouais ? avait-il grommelé en vrillant son regard sur moi.
- Assieds-toi, papa.
Le sourcil haussé, il m'avait toisée pendant cinq secondes avant de gagner à pas lourds le fauteuil et de s'asseoir avec raideur.

Chapitre 1.

Hésitation (T.3) - Stephenie Meyer.

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Articles connexes :












Quatrième de couverture :

'Deux futurs, deux âmes soeurs... C'était trop pour une seule personne. Je compris que ce n'était pas Edward et Jacob que j'avais essayé de réconcilier, c'étaient les deux parts de moi-même, la Bella d'Edward et la Bella de Jacob. Malheureusement, elles ne pouvaient coexister et j'avais eu tort de tenter de les y contraindre. A présent, je ne doute pas de ce que je désire, ni de ce dont j'ai besoin... ni de ce que je vais faire, là, maintenant.'


Mon avis : 



Je continue l'aventure Twilight que j'ai de plus en plus de mal à suivre, je suis ressortie très mitigée de ce tome que j'ai eu du mal à terminer, c'était interminable et long... néanmoins, pour bien faire, je continuerai jusqu'au tome quatre afin de terminer la saga...

Troisième tome, donc, Edward et sa famille reviennent s'installer à Forks et Bella peut enfin vivre aux côtés d'Edward, mais très vite, une série de meurtres secoue Seattle. Les Cullen pensent à des vampires nouveaux-nés incapables de maîtriser leur soif de sang. Mais Victoria, une vampire cherchant à se venger de Bella et des Cullen, se révèle être derrière ces attaques qui ensanglantent Seattle. Elle a décidé de former une armée de nouveaux-nés pour en venir à bout de Bella. De son côté, Bella continue de fréquenter son meilleur ami, Jacob Black, loup-garou amoureux d'elle ; et ce, malgré la désapprobation d'Edward...

Dans ce troisième opus, les relations sont très approfondies, celles entre Bella, Edward et Jacob, le triangle amoureux est très mis en avant, l'auteur insiste bien sur le dilemne de Bella qui doit choisir entre Edward et Jacob qu'elle aime tous les deux, on sent bien les tensions qui grimpent jusqu'à la fin du tome où Bella prend conscience d'une vérité dérangeante. Le couple Bella/Edward prend de la profondeur, ils font des projets d'avenir, et l'amitié Jacob/Bella se transforme aussi en amour, surtout pour Jacob, le triangle amoureux doit être le thème principal du roman à un point où ça en devient agaçant. Déjà, je ne supporte plus Bella, autant ça allait encore dans les deux premiers tomes mais là... elle m'agace franchement avec ses lamentations, son côté martyre  son envie de ne pas vouloir faire souffrir Jacob ou Edward ou les autres finit par rendre tout le monde malheureux. Ses pensées sont typiques de celles des adolescentes je suppose (j'espère sincèrement que je n'ai jamais agi ainsi pendant ma propre adolescence, c'est fou ce que je rejette cette période de ma vie bien loin alors qu'à 18 ans, j'y suis encore (rien qu'un peu)), mais j'ai eu du mal à les supporter tout au long du roman, d'autant plus que ce tome était long, l'action a mis du temps à s'installer malgré la tension 'Attention-Victoria-est-de-retour-pour-vous-jouer-un-mauvais-tour' et cette affaire qui suscitait mon intérêt, qui rendait l'atmosphère intéressante, où j'attendais la confrontation... cette affaire a bien été liquidée rapidement, Victoria est repartie aussi vite qu'elle est venue, dommage, j'aurais aimé une fin plus intéressante pour ce personnage, ce méchant convaincant.

De même que l'idée de vampires nouveaux-nés était intéressante mais au final mal-exploitée, on en sait peu... et la plupart des personnages sont irritants, surtout Edward et Alice, mais surtout Bella, trop cruche, trop niaise... mais n'allez pas croire que j'ai trouvé que des points noirs, hein ! Si le triangle amoureux, quand il ne m'énerve pas, il m'amuse ; et certains personnages comme Jasper et Rosalie sont mis en valeur, on en sait plus sur leur histoire et c'était intéressant à découvrir (j'imagine très bien Rosalie en robe de mariée ensanglantée... image morbide, vous dites ?), mais aussi un peu de celles d'Alice et Carlisle. Et j'ai bien aimé retrouver Charlie, Jacob et l'humour d'Emmett ('tu t'es encore cassé la figure, Bella ?'). Tome mitigé donc... que dirais-je au prochain ?



Extrait :

- Aimerais-tu entendre mon histoire, Bella ? Elle ne se termine pas bien, mais n'est-ce pas le cas de tous nos destins, à nous autres vampires ? Pour moi, le seul 'happy end' possible serait une rangée de tombes.
Effrayée par la tension de sa voix, j'opinai néanmoins.


Chapitre 7. Toutes les histoires ne finissent pas bien.